Créature des enfers, buveuse de sang, avec l’un des bruits les plus insupportables du règne animal… J’ai nommé le moustique. Elles s’approchent doucement de nos oreilles avec ce zonzonnement infernal, pour ensuite venir nous piquer. Pourquoi elles, me direz-vous ? Parce que seules ces dernières piquent pour le développement de leurs œufs. Aussi, les moustiques repèrent leurs proies à l’odeur et grâce aux CO2 que vous émettez lors de votre respiration. Au-delà de leur aspect terriblement ennuyant, cet insecte reste le vecteur de beaucoup de maladies. On compte parmi elles, Zika, la dengue ou encore le paludisme dans les zones tropicales. Dans le but de prévenir toutes sortes de déconvenues cet été, optez pour des répulsifs à moustiques. Et cela tombe bien puisque, l’UFC-Que Choisir nous donne ses meilleures recommandations pour ce faire.
Le meilleur répulsif anti-moustiques ?
Avant de penser produits chimiques, il existe des plantes qui se chargeront de tenir éloignés les moustiques. Ainsi, l’ail et le basilic remplissent ce rôle à merveille. Côté huiles essentielles, vous pouvez opter pour la célèbre citronnelle en diffusion ou aussi directement sur votre peau. Toutefois, il faudra veiller à renouveler l’application toutes les trois heures. Ce qui reste peu pratique durant une nuit complète. En guise de solution ultime, vous pouvez investir dans une moustiquaire. Peu cher, sans odeur, accrochez-la à vos fenêtres ou au-dessus de votre lit pour une quiétude retrouvée. En revanche, lorsque vous vous trouvez hors de votre domicile, il faut que vous puissiez aussi vous protéger. Ainsi, l’UFC-Que Choisir recommande l’Insect Écran zones infectées de DEET. Même s’ils ajoutent :
« Les 16 h de protection mises en avant sont valables pour 2 applications par jour ! Mieux vaut prendre pour repère 8 h de protection maximum pour 1 application. Notre test confirme sa très bonne efficacité répulsive : plus de 9 h contre le moustique tigre et 8 h contre les tiques avec 1 g/600 cm² »
Vous avez à présent toutes les clefs pour remporter cette guerre qui s’annonce âpre.