Les aides sociales sont un moyen précieux pour les foyers les plus démunis d’obtenir des ressources supplémentaires. Effectivement, plusieurs organismes se chargent de les distribuer en fonction des besoins. Ainsi, la Caf ou encore la MDPH s’occupent des différents versements. Par ailleurs, malgré le déficit avéré, les aides sociales ne subiront pas de gel prochainement. Au contraire des pensions de retraite. Cela dit, la réforme du RSA encourage clairement les plus précaires à retrouver le chemin de l’emploi. Dans le même temps, la prime d’activité accompagne le pouvoir d’achat des plus précaires. Il en va de même pour la prime de Noël. Ceci dit, les aides sociales ne s’arrêtent pas qu’au pouvoir d’achat. Et en voici quelques exemples.
Quelles aides sociales en fonction des besoins ?
- Logement : Souvent les salaires s’avèrent un peu trop juste en comparaison aux coûts d’un logement. Et c’est ici que les APL interviennent. Cette aide sociale permet d’absorber une partie du loyer. Bien sûr, ils sont soumis à conditions de plafonds. Dans cette veine, le Fonds de solidarité pour le logement (FSL) peut venir en complément. En outre, les propriétaires ou locataires mieux loti ne sont pas oubliés. En effet, MaPrimRenov‘ leur permet de réaliser des économies d’énergie. Via des travaux sur l’isolation ou le système de chauffage. De surcroît, un simulateur rassemble l’ensemble des aides sociales disponibles pour rénover son bien.
- Santé : La C2S (Complémentaire santé solidaire) qui remplace la CMU, agit comme une mutuelle. Ceci dit, elle peut être totalement gratuite ou payante. Évidemment, cela dépend toujours des plafonds fiscaux. Mais cela reste toujours moins cher qu’une mutuelle conventionnelle. D’autant plus lorsqu’on sait qu’elles subiront une hausse dès 2025. Dans le domaine de la santé, le sport est aussi mis en valeur. Le Pass’Sport permet de réduire les coûts d’inscription à une activité physique entre 6 et 30 ans.
- Aides au pouvoir d’achat : Outre la prime d’activité, ou la prime de Noël, la Caf propose aussi une aide pour remplacer le matériel informatique défaillant des écoliers ou étudiants. De plus, l’allocation de rentrée scolaire (ARS) éponge aussi une partie de l’inflation sur les coûts de la scolarité.