Benoît Dubois (Secret Story 4) se confie sur ses envies de paternité : « c’est un billet de 100 000 euros »

Le candidat de téléréalité aurait-il des envies de paternité ? En tout cas, Benoît Dubois y a déjà pensé.

Personnage emblématique de Secret Story 4, Benoît Dubois a remporté sa saison aux côtés d’Amélie Neten ou encore Senna. Grâce au jeu, il remporte la coquette somme de 197 805 euros. Un argent qu’il place immédiatement dans l’immobilier. Par la suite, sa personnalité attachante lui a ouvert les portes de la télévision. Ainsi, on a pu le retrouver dans le Mag avec Matthieu Delormeau. En outre, Cyril Hanouna lui avait aussi ouvert les portes de TPMP.

En revanche, son truc, c’est la téléréalité. Benoît Dubois fait un carton dans chacune de ses émissions. Entre les Anges, Friends Trip ou encore en 2023 Les Apprentis Aventuriers, son attitude séduit les téléspectateurs. Par ailleurs, c’est dans ce registre que le jeune homme fera son retour fracassant dans la Villa des Cœurs Brisés sur TFX. Ainsi, Télé 2 Semaines en a profité pour lui demander comment s’était déroulé son aventure et dans la foulée, il a fait d’autres confidences. On vous fait le point.

Benoît Dubois, papa ? Il y pense

Célibataire aux dernières nouvelles, peut-être que cela changera à la fin de l’aventure, la Villa des Cœurs Brisés, Benoît Dubois pense aussi famille. En effet, comme Mathieu Ceschin ou encore Jacquemus, l’idée d’une GPA lui a traversé l’esprit. Ainsi, il a expliqué :

« La GPA, j’y pense souvent. Ça revient souvent dans mes conversations. Ça dure 1 an et demi et c’est un billet de 100 000 euros. Il faut que je vende un appartement »

Toutefois, cela reste une pratique prohibée en France. De même, cela pose un certain nombre de problèmes éthiques. De ce fait, les personnalités y ayant recours s’exposent à des montagnes de critiques. En revanche, pour Benoît Dubois, la question se trouve ailleurs :

« Là actuellement, je suis stable, car je vis des locations de mes appartements. Vendre un appartement pourrait me mettre en difficulté. Et je ne voudrais pas accueillir un enfant si je suis en difficulté. J’y pense toujours, mais je ne veux pas que ça se fasse dans la précipitation »

Comme le dit l’adage : patience est mère de sûreté.

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Sources : voici.fr



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