Vous le savez : la circulation automobile entraîne beaucoup de pollution. En particulier à cause des émissions de CO2. Pour préserver l’environnement et la qualité de l’air, le gouvernement fait donc tout ce qu’il peut pour encourager les Français à utiliser d’autres moyens pour se déplacer. En favorisant les transports en communs, les véhicules électriques ou les mobilités douces. Dans ce contexte, vous réfléchissez peut-être à l’achat d’un vélo. Une solution idéale pour faire des trajets en ville ou aller sur votre lieu de travail, sans vous retrouver bloqué dans les bouchons… Avant de sauter le pas, voici les coups de pouce auxquels vous pouvez prétendre !
Les aides à connaître pour un achat de vélo
Neufs ou d’occasion, classique ou électrique… Chacun pédale comme il le souhaite. Pour faire progresser cette pratique, le gouvernement accorde une aide de 3 000 euros sous certaines conditions :
- Avoir un revenu fiscal de référence (RFR) inférieur ou égal à 7 100 euros sur l’année précédente OU se trouver en situation de handicap.
- Avoir mis au rebut un véhicule trop vieux ou trop polluants (voitures ou utilitaires), pour respecter les critères de la prime de conversion.
Cette subvention peut vous concerner pour un achat de vélo, qu’il soit à assistance électrique ou qu’il s’agisse d’un vélo cargo électrique ou rallongé électrique. Ou même d’un engin adapté à votre handicap. Cela inclut même les bicyclettes pliantes. Si vous n’avez pas le droit à ce coup de pouce, notez que d’autres dispositifs existent. Pour inciter les Français à s’équiper. Mais leurs montants varient selon vos ressources, et selon le modèle que vous souhaitez acquérir.
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Ainsi, le bonus écologique VAE vous permet de toucher jusqu’à 400 euros pour tout achat de vélo électrique, qu’il soit neuf ou de seconde main. Mais là encore, il ne faut pas dépasser les plafonds de ressources. En ce qui concerne les vélos cargos, qui intéressent surtout les pros et les familles, il existe aussi un bonus écologique. Et il atteint les 2000 euros si vos revenus ne dépassent pas le barème. Pour une personne morale (une entreprise, une association), le bonus s’élève à 1 000 euros sans condition.
Bien entendu, ces dispositifs plairont surtout aux habitants des villes et des périphéries. En effet, en zone rurale, un vélo aurait bien du mal à remplacer une voiture pour les trajets du quotidien. Loin des transports en commun, vous pouvez toujours économiser. Notamment grâce au covoiturage. Qui vous permettra aussi de limiter les émissions de CO2 lors de vos déplacements.